3.22 * Adieux
All Hell Breaks Loose
LES SCRIPTS SONT ©
MAGIE CHARMED. ILS NE DOIVENT APPARAITRE SUR AUCUN SITE.
SEUL USAGE PERSONNEL AUTORISE.
[Au Manoir, la porte d'entrée s'ouvre laissant entrer Piper, Phoebe,
Prue, et ... un médecin.]
Piper : Ca y'est, j'crois qu'on a réussi, j'suis
sûre qu'on a réussi ! Vous vroyez qu'on a réussis ?
Prue : J'en sais rien !
Phoebe : On nous aurait déjà attaquer, si on avez pas
réussi ...
(Ils s'arrêtent dans le hall.)
Le docteur : Qui nous aurait attaqué ? Je ne comprends pas ce
que vous racontez.
Phoebe : Nous cherchons un moyen de vous sauvez la vie !
Le docteur : Qui veut me tuer ?
Prue : Eh bien, nous l'ignorons malheureusement.
Piper : On a pas eu assez de temps pour découvrir qui c'était
à cause de notre soeur.
Phoebe : Il fallait agir vite, je n'ai aucun moyen de savoir à
quel moment mes prémotions vont se réaliser. J'ai vu l'attaque
et on est passées à l'offensive, comme d'habitude !
Piper : Il aurait tout de même mieux savoir à qui on avait
à faire !
Prue (à Phoebe) : Je propose que tu ailles vérifier dans
le Livre des Ombres si tu trouves un indice sur ce tueur démoniaque,
d'accord ?
Le docteur : Comment ça démoniaque ?
Piper : Ca serait également une bonne chose de savoir comment
le vaincre. Alors la potion pour Cole, pour l'instant tu laisses tomber. Tu
as plutôt intérêt à se concentrer sur celles qui
nous sauveront.
(Phoebe se rend au grenier.)
Prue : Euh... Quelle potion pour Cole ?
Piper : Il lui as dit qu'il avait tué la sorcière uniquement
parce qu'une démon lui avait jetté un sort. Elle est si naïve
qu'elle l'a cru.
Prue : J'croyais qu'elle voulait plus de lui ?
Piper : Apparemment pas.
Le docteur : Je ne comprends pas ce que vous racontez. Vous me dites
que ma vie est en danger, vous me kidnappez sur mon lieu de travail et pour
finir vous parlez de démons et de sorcières. (Haussant le ton,
ce qaui fait sursauter Piper.) Enfin qui êtes-vous ?
Prue : Je sais, je sais. Tout cela peut paraître incroyable.
Mais pourtant c'est la vérité j'vous assure. Vous guérissez
un certain nombre de vos patients. Alors soit vous avez sauvez trop de vies,
soit il y a une vie qu'ils ne veulent pas que vous sauviez.
Le docteur : Vous les connaissez ?
Prue : Oui c'est un démon, pour être plus précise
c'est Shax, l'assassin de la Source.
Le docteur : J'ai compris, ça y'est ! Vous avez voulu me faire
une farce. Il y a une caméra cachée ? J'parie que cette mon
ex-femme qui a eu cette idée.
Prue : Euh... non.
Le docteur : Ca ne m'étonne pas d'elle. (Il rit et cherche des
caméras au plafond.)
Prue : Docteur Griffiths, ça n'a rien n'a voir avec elle, vous
vous trompez. (Elle s'arrête.)
Piper : Qu'est-ce que tu as ?
Prue : J'ai senti quelque chose, ça m'a fait froid dans le dos.
Phoebe ?
Phoebe : (au loin) Oué minute, j'arrive !
(La porte d'entrée s'ouvre sous la force de Shax qui se dirige droit
sur Piper et Prue.)
Prue : Phoebe !
(Shax se dirige sur le docteur. Prue et Piper relève la tête.)
Le docteur : Qu'est-ce que c'est que ça ?
Prue : Non. (Elle se relève et pousse le docteur interceptant
la boule d'énergie lancée par Shax. Elle traverse le mur.)
Piper : (se relevant.) Prue !
(Piper essaie de figer Shax, mais elle se reçoit elle aussi une boule
d'energie lui faisant prendre le même chemin que Prue : le mur. Shax
se tourne vers le médecin.)
Le docteur : Qui êtes-vous ?
Shax : La fin.
(Phoebe arrive dans les escaliers et récite une formule.)
Phoebe : Vent du mal qui souffle et qui vient de l'Enfer,
Disparaît à jamais grâce à cette formule magique,
Et que la mort t'emporte.
(Shax est explusé du Manoir.)
Phoebe : (Voyant ses soeurs sur le sol. Elles les rejoint.) Oh, non
! C'est pas vrai ! Léo ? Léo ?
(Léo Apparaît.)
Phoebe : Oh dépêche-toi !
(Il les soigne toutes les deux, et après un certain temps, elles reviennent
à elles. Phoebe est soulagée.)
Piper : Qu'est-ce qui s'est passé ?
Léo : Vous avez failli mourrir pour de bon.
Piper : D'accord, mais quoi encore ?
Prue : Aïe. Où est Shax ?
Phoebe : J'ai essayé de le vaicre à l'aide de la formule.
Seulement, je crois que je n'ai réussi qu'à le blessé,
il s'est trasformée en courant d'air.
Prue : Je me demande s'il fallait pas plus d'une sorcière pour
que la formule ait de l'impact.
(Prue se relève.)
Prue : Tu viens , on y va.
5elle aide Piper à se revlever.)
Piper : On va où ?
Prue : On va le retrouver, ça sera plus facile de l'achever
puisqu'il est blessé. (A Phoebe.) Toi tu restes ici pour Greffis, si
jamais Shax reviens, tu te sers de la formule comme moyen de défense.
Ou ! (Elle s'en va. A Piper.) Allez tu viens ! Dépêche-toi.
Piper : A tout à l'heure.
(Phoebe et Léo reste là inquiets. Le docteur n'en croit toujours
pas ses yeux.)
[Dehors dans la rue. Prue et Piper court à la poursuite de Shax.]
Piper : Phoebe lui a fait peut-être plus de mal
qu'elle croit.
Prue : Non, il serait resté dans les parages. Il serait pas
parti sans avoir eu ce qu'il voulait.
Piper : Tu crois qu'ill oserait nous attaquer en plein jour ? Les démons
sont plus assidieux que ça en général.
(Elles s'arrêtent. Shax appraît derrière elles. Elles se
retournent et Prue utilise son pouvoir de télékinésie
pour envoyer la boule d'energie de Shax. Piper le fait exploser.)
Piper : Tiens prends ça ! Qu'est-ce que t'en dis ? Tu crois
qu'il est mort ?
Prue : Sans la formule ! Nan ça m'étonnerait !
Piper : on a pas toujours besoin d'une formule pour les anéantir.
Encore heureux que personne ne nous ait vu.
Prue : Allez, on retourne voir Phoebe. Viens !
(De l'autre côté de la rue, une journaliste et son caméraman
on tout vu et ... filmer.)
La journaliste : Reviens sur moi, reviens sur moi, vite . "Euh,
nous sommes en direct, je n'ai pas d'explications sur ce qui vient de se passer,
mais quoiqu'il en soit, cette chose était là, nous l'avons tous
vu.
GENERIQUE
[Au manoir, dans le solarium, piper revient de la cuisine un verre d'eau à la main. Prue est assise sur un fauteuil. Piper donne le verrre au docteur assis à côté de Phoebe.]
Le docteur : Merci !
(Piper s'assit.)
Phoebe : Vous comprenez maintenant pourquoi vous devez garder le secret
? Pourquoi vous devez parler de nous à personne, ni de ce que vous
avez vu aujourdhui !
(Le docteur reste muet.)
Prue : Si les gens l'apprenaient, nous ne pourrions plus faire ce que
nous faisons. Nous ne pourrions plus aider des innocents, comme nous vous
avons aider vous.
Le docteur : Euh, oui bien sûr je comprends. Enfin non, en vérité
je comprends rien du tout, les démons, les sorcières, la Source.
C'est difficile à croire pour quelqu'un comme moi. Je garderais le
secret, c'est promis.
Phoebe : Merci !
Le docteur : Merci à vous ! Vous m'avez sauver la vie, il est
normal que je protège la vôtre.
Phoebe : Je vous raccompagne jusqu'à la porte, venez.
Prue : Aurevoir.
(Phoebe le raccompagne. Léo revient de la cuisine.)
Léo : Alors ça été ?
Piper : Oui, disons qu'on a évité le pire !
Prue : Oui, avec lui peut-être bien !
Léo : Comment ça ?
Prue : Y'a quand même un truc qui me laisse septique sur la façon
dont on a vaincu Shax. J'suis pas sûre qu'on l'est vraiment vaincu.
Piper : J'comprend pas. Il s'est mis à hurlé et pis pouf,
il s'est volatilisé comme les autres. C'est le troisième démon
d'afillé que j'arrive à vaincre avec mon nouveau pouvoir, c'est
bien, non ?
(Phoebe revient.)
Prue : Oui, c'es-t pas mal, mais si il suffisait de ça pour
le vaincre, comment se fait-il qu'il y ait une formule dans le Livre des Ombres
? D'ahbitude ça signifie que nos pouvoirs sont pas assez puissants
pour vaincre.
Léo : N'oublies pas que ce livre a été écrit
par des sorcières qui avait moins de pouvoir que vous. Il leur fallait
des formules.
Phoebe : J'imagine que si il été encore envie, il serait
repassé à l'attaque depuis le temps.
Prue : Euh, dis donc Léo, si tu allais te renseigner auprès
des Fondateurs pour en avoir le coeur net.
Léo : Pourquoi pas !
(Il disparaît.)
Piper : Si tu veux mon avis, t'es un peu parano, je suis sûre
qu'on s'esr débarrasé de Shax, il est mort et entérré.
Prue : Peut-être, mais il vaut tout de même mieux vérifier.
Phoebe : Bon eh ben, j'peux y'aller maintenant je pense que vous n'avez
plus besoin de moi. J'aimerais bien essayer une nouvelle potion sur Cole.
Une qui iversera le sort qui a fait de lui un Etre maléfique.
Piper : oh Phoebe écoute !
Phoebe : Nan, je ne te demande pas ton consentement, uniquement ton
soutien.
Prue : Mais réfléchi, comment ceux-tu qu'on t'apportes
notre sousiten , en sachant que tu vas peut-être encore souffrir.
Phoebe : Je sais que Cole a un bon fond, j'en suis persuadée.
Si la magie noire l'a piégé, pourquoi pas se servir de la magie
blanche... pour le sauver. Je ne vais pas lui tourner le dos, avant d'avoir
essayé.
Piper : Qu'est-ce que tu attends de nous ?
Phoebe (sortant un papier de sa poche): Que vous lisiez la formule
magique pour m'envoyer là-bas... auprès de lui. (elle tend la
feuille à Piper.) Tiens, je l'ai réecrite pour que ça
fonctionne.
Piper (Oouvrant le papier): Tu te rends pas compte, c'est dangeureux.
S'il t'arrive quelque hose, on ne poirra même pas te joindre.
Phoebe : Je serais en sécurité avec Cole, et je sais
qu'il me ramènera, j'lui fait confiance.
Prue : J'ai l'impression que tu mises trop sur cette potion.
Phoebe : Pas sur la potion, ... je mise sur Cole.
[En Enfer, Phoebe apparaît trouvant Cole coucher.]
Phoebe : Cole ? Réveilles-toi.
(Il se réveille et lui prend le bras.)
Cole : Phoebe ! (Il se relève.) Mais qu'est-ce que tu fait là
?
Phoebe : Je suis venue te chercher.
(Cole l'attrape et lui sert le cou.)
Cole : Tu viens de faire une grave erreur.
[Dans une maison de production de San Francisco. Dans un bureau un homme entre et donne une cassette vidéo à la journaliste qui a filmé l'attaque.]
Le directeur : Un peu de silence. Silence ! Vous pouvez
fermer la porte ? (L"homme execute l'action.) Tout d'abord, une première
recommandation, rien ne doit sortir de cette pièce tant que je ne l'aurez
pas décider. D'accord ? Allez-y.
(La journaliste envoie la cassette. Tout les journalistes n'en croivent pas
leur yeux.)
Le directeur : On l'a déjà passé à l'antenne.
Une femme : Non, mais si on ne l'envoie pas, un amateur risque fort
de le faire avant nous.
Un homme : Et on trivera plus rien niveau financier.
Le directeur : Attendez, il faudrait peut-être savoir à
quoi on a à faire avant de s'emballer. Ensuite on pourra aviser. Elana
?
La journaliste : Je l'ignore. Vous venez de le voir à l'écran.
Il s'agit sûrement d'un phénomène d'ordre... surnaturel.
Une femme : Mais non, c'est absurde, ça pourrait être
une stratégie d'ordre militaire ou d'un coup de pub, qu'est-ce qu'on
en sait ?
Un homme : Comment ça un coup de pub, vous êtes sérieuse
? Pourquoi pas la N.A.S.A !
La journaliste : Ca ne peut pas être un coup de pub, ils ignoraient
qu'on était dans le coin.
Une femme : On en sait rien, ils ont peut-être fait semblant
de l'ignorez. A mon avis, on a à faire à un canulard.
Le directeur : Si c'est le cas, et qu'on envoie le reportage avant
de l'identifier, on aura l'air malin !
La journaliste : On ne peut pas remetre le génie dans la bouteille,
c'est trop tard. Deux cents mille téléspectateurs l'ont déjà
vu. Alors on fait quoi.
(Un grand silence règne dans la pièce.)
Le directeur (à la journaliste): Faut découvrir qui sont
ces femmes, vous allez mener l'enquête mais soyez prudents surtout,
elles peuvent ne pas accepter.
(La journaliste et l'homme quitte le bureau, content de faire ce reportage.)
[Dans la rue, à l'endroit où elles ont tué Shax, Prue
et Piper inspecte les lieux.)
Piper : T'esperais trouver quoi ?
Prue : J'en sais rien, au moins un indice !
Piper : N'oublies pas que les démons ne laissent jamais d'empreintes
de pas.
Prue : Non, mais quelques fois des résidus à l'endroit
où on les a vaincus et qui, en d'autres circonstances seraient anodins.
Ce que j'ai du mal à comprendre, c'est comment on a pu vaincre un démon
aussi puissant sans formule magique ?
Piper : Moi je suis bien plus inquiète pour Phoebe que pour
Shax. On aurait dû la retenir.
Prue : Phoebe peut se défendre mais Griffithss, c'est autre
chose. (Elles rebroussent chemin.) Piper, j'ai un mauvais présentiment
depuis ce matin, et si y'a bien une chose que j'ai appris depuis que je suis
devenue sorcière, c'est à me fier à ce que je ressens.
(Elles passent devant une fillette qui les fixe du regard.)
Piper : Bonjour.
(Sa mère arrive.)
La mère : Viens chérie, il ne faut pas s'en approcher.
(Piper a entendu.)
Prue : Viens !
[Au commissariat, Darryl accompagne un prisonnier jusqu'à son bureau.
En arrière plan, une télévision.]
Darryl : Asseyez-vous.
(La capitaine les rejoint.)
La capitaine : Morris !
Darryl : Capitaine ?
La capitaine : Je crois que tous ces bruits qui courent à propos
des soeurs Halliwell et vous commencent à se justifier.
Darryl : J'comprends pas !
(La capitaine lui fait un signe de la tête vers le téléviseur.
Un reportage montre Piper et Prue vaincant le démon Shax.)
Darryl : C'est pas vrai...
[Au Manoir, dans la cuisine. Prue apparaît au téléphone. La télé diffuse un flash spécial.]
Prue : Oui, le docteur Griffiths va rester combien de
temps ? Ah très bien, alors dites-lui de m'appeler le plus vite possible.
Merci. Aurevoir. (Elle raccroche. A Piper) Greiffis est au bloc opératoire
et il opère quelqu'un en ce moment, je ne crois pas que Shax ira l'attaquer.
Piper : Tu crois que ça va durer longtemps tout ça ?
on va pas le protéger indéfiniment.
Prue : On aura pas à attendre trop longtemps, je crois que Shax
va passer à l'attaque tôt ou tard. Il faut aller à son
secours.
Piper : Non, il vaut mieux attendre de savoir ce que Léo à
découvert. N'oublies pas qu'il manque Phoebe. T'imagines si on a besoin
du pouvoir des trois.
(Le téléphone sonne. Prue va déccrocher.)
Prue : Ah, c'est peut-être Griffiths. Allo ? Euh...non Darryl
parle moins vite s'il-te plait, je n'comprends rien. Quoi ?
Darryl (au comissariat) : T'as vu la télé aujourd'hui
? On parle que de ça !
Prue : On parle que de quoi ,
Darryl : Ecoutes, allumes ta télé, tu vas voir. J'ai
dit au capitaine que je résoudrais la situation, mais c'est tout de
même bizarroïde.
(Piper monte le son de la télé. Elles découvrent "leur"
reportage et restent muettes.)
Le présentateur : Je vous invite à rester avec nous et
de rejoindre Elana Dominguez qui a certainement du nouveau sur cette affaire.
Elana ?
La journaliste : Nous approchons maintenant de la maison où
ces femmes sont censées habiter.
(Prue en perd la télécommande.)
Prue : Oh non ! Elle...
(La journaliste se trouve devant le manoir.)
La journaliste : Elles s'appellent Prue, Piper et Phoebe Halliwell.
Vous allez pouvoir faire leur connaissance maintenant et endirect sur KBSF.
Piper : Et maintenant qu'est-ce qu'on fait ?
[Dans Prescott Street, une foule attend devant le manoir. Une voiture arrive. Darryl en sort. Les journalistes se précipitent sur lui.]
Darryl : Je n'ai aucune déclarations à
faire.
(Sur les escaliers, une femme Alice l'interpelle.)
Alice : Eh ! Je peux vous aider, je sais qui elles sont maintenant.
Je sais que ce sont des sorcières exactement comme moi. J'en suis une
aussi.
Darryl (au téléphone) : Prue, je suis devant la porte,
ouvres-moi !
La journaliste : Une déclaration inspecteur ?
Darryl : Non je n'ai rien à dire !
(Prue ouvre la porte.)
La journaliste : Mademoisselle Halliwell.
Prue : Allez-vous en !
(Elle referme la porte.)
[Dans la hall du manoir, Piper revient de la salle à manger.]
Piper : C'est illégal non ? Tu ne peux rien faire
pour empêcher ça ?
Darryl : Tuer quelqu'un en direct, c'est pas très légal
non plus.
Prue : Ce n'était pas un humain Darryl ! C'était un démon
et en plus on est même pas certaines de l'avoir tuer.
Darryl : Et pourquoi tu ne leur dit pas ? Ecoutez, j'ai appelé
du renfort mais on ne tiendra pas longtemps. Je crois que ça risque
de mal tourner.
Piper : On aurait pas dû suivre Shax dans la rue, on a eu tort.
Prue : Mais on avait pas le choix Piper.
Piper : C'est ce que tu crois !
Prue : Oui, bien sûr, on aurait pu le laisser tuer notre innocent.
Tu aurais peut-être préférer ça ! (Un silence.)
Fait-moi plaisir, si on essayait d'agir au lieu de se disputer. Je crois qu'on
a déjà assez de problèmes comme ça, non ?
Darryl : Plus que vous l'imaginez : la capitaine veut que je vous ramène
pour qu'on puisse vous interroger.
Piper : Ah oui ? Et qu'est-ce que va lui dire ? (Ironiquement.) La
vérité peut-être !
Darryl : Et qu'allez-vous dire aux médias ? (Son téléphone
sonne.) Capitaine... (Il s'isole dans la salle à manger.)
Prue : Offf. Je m'dit que quand Phoebe aura sauver Cole, elle pourra
peut-être s'occuper de nous et voler à notre secours.
(Léo apparaît.)
Piper : Ah ! C'est pas trop tôt. T'en a mis du temps, tu peux
me dire où t'étais passé ?
Léo : Euh, j'essayais de trouver une solution pourvous sortir
de là, vous vous êtes mis dans de beaux draps.
Prue : Au cas où tu serais pas au courant, on est même
passé à la télévision. T'as une suggestion ?
Léo : Nan, ils cherchent une idée !
Piper : Oh. c'est pas vrai, on peut savoir combien de temps ça
va leur prendre.
Léo : Ce n'est pas leur fautes, c'est vous qui vous êtes
plantées.
(Prue fait une grimace.)
Piper : Ca nous été jamais arrivé. J'te rappelle
qu'on s'est démenées comme des malades pendant trois ans sans
jamais se faire prendre. On a tout de même du mérite ?
Léo : Oui, mais on vous a repérer maintenant. Si on ne
répare pas ça tout de suite, tout le bien que vous avez fait
n'aura servi à rien. C'est votre avenir qui est en jeu.
Piper : Et si c'était justement notre destin de ne pas allez
plus loin ?
Léo : C'est ce que tu penses ?
Piper : Pourquoi pas ?
Prue : Nan, j'crois pas. Tout l'année on a eu à subir
tellement d'épreuves, celle-ci n'est pas la première. C'est
simplement une épreuve de plus, et on en viendra à bout, comme
pour les autres. Ce serait bête d'abandonner maintenant, alors en attendant
les directivesdes fondateurs, il faut à tout prix qu'on sauve cet innocent.
Piper : Le docteur Griffiths ?
Prue : Oui, si on arrive pas avant qu'il sorte du service de chirurgie,
Shax va le tuer. (A Léo) A moins que tu aches quelque chose qu'on ignore
?
Léo : Non... seulement, vos pouvoirs ne suffiront pas pour la
formule, il faut que vous soyer trois.
Prue : Oui, mais on est que deux, on s'en contentera ! Allez sois gentil,
transporte nous à l'hôpital.
Léo : Je suis désolé, les fondateurs ne veulent
pas que les êtres de Lumière qoient démasqués eux
aussi.
Piper : Quelle bande de lâches.
(Darryl revient.)
Prue : Très bien, on le sauvera sans votre aide, si c'est comme
ça !
Darryl : Une minute ! Une minute ! Même si vous réussissez
à sauver l'innocent, vous ne vous en sortirez pas.
Prue : Oui je sais, mais il faut s'emparer du plus urgent. Alors tu
essais de baratinner ton capitaine, comme ça on gagnera du temps. (A
Léo) Et toi, tu vas remonter là-haut et dire à tes supérieurs
qu'on peut se passer d'eux.
(Prue et Piper quitte la pièce.)
[Devant le manoir. Les journalistes attendent.]
La journaliste : Nous ignorons encore si la police à
procéder à des arrestations.
(Prue et Piper sortent du manoir et montent dans la voiture de Piper.)
La journaliste : Mesdemoiselles Halliwell?
Alice : Attendez !
[En Enfer, Cole est propulsé sur une botte de foin, par Phoebe.]
Cole : Tu ne supportes pas qu'on te laisse tomber ? Hein
?
Phoebe : Saches que si j'ai pris le risque de venir ici, c'est que
je compte bien obtenir ce que je veuw.
Cole : Tu ne peux plus m'avoir. Plus maintenant.
Phoebe : Sauf si j'inverse la malédiction qui nous a séparer.
Cole : On a déjà eu cette conversation, tu te souviens
? Même si tu l'ainverse, ça ne changera rien au fait que...
Phoebe : ... tu as tué une sorcière. Oui évidement,
mais on t'a forcé à la faire, contre ta volonté. (Cole
se relève.) Ce qui te donne une seconde chance, ce qui nous donne à
tous les deux une seconde chance.
(Cole la reprend par le cou.)
Cole : J'ai déjà eu une seconde chance. Et j'ai tout
gaché. (Phoebe essaie de se dégager.) Vas-t'en pendant qu'il
est temps. C'est la seule chance qui te reste, tu as compris ? On ne joue
plus. Rentre à la maison, tu ne me sauveras pas.
(Phoebe sort une potion de sa poche et l'explose sur le dos de Cole laissant
apparaître un nuage de fumée.)
Phoebe : Combien tu paris ?
Il recule, la lâchant.)
Phoebe : Alors cette potion ?
(L'air toujours maléfique, il s'avance vers elle, et ... l'embrasse.)
Phoebe : Allons nous en d'ici.
Cole : Pour aller où ?
Phoebe : Mais tu sais bien où on ira. Chez moi, je te ramène
à la maison.
Cole : Qu'est-ce que tu imagines ? Qu'ils me laisseront repartir ?
Qui ne me poursuivront pas ?
Phoebe : C'est rien on pourra se défendre.
Cole : Ils abandonneront jamais. N'oublies pas qu'on a déjà
essayé, on n'a pas réussi.
Phoebe : Quelle solution nous reste-t-il ?
Cole : Il n'y en a aucune.
(Phoebe qui espéreait une autre réponse, baisse les yeux.)
[A l'hôpital, à l'acceuil. Le docteur Griffiths sort d'une salle d'opération et va répondre à un coup de téléphone.]
Griffiths : Dr Griffiths à l'appareil.
(Prue et Piper arrive et emmène avec elle le médecin.)
Prue : Bonjour !
Piper : (Lui arrachant le téléphone et le donnant à
l'acceuil) Il est toujours occupé.
Griffiths : Vous m'emmenez où là?
Piper : Allez vite !
Prue : Dépéchez-vous !
Griffiths : Doucement.
[Devant l'hôpital, Piper, Prue et le médecin coure.]
Griffiths : Je croyais que vous vous en étiez
débarrasser ?
Prue : Oui, mais on s'était trompées. On doit vous protéger,
vous verez, on va vous mettre en lieu sûr.
Griffiths : J'nai parler à personne.
Prue : Montez dans la voiture !
Griffiths : J'vous jure je n'ai rien dévoilé.
(Ils montent tous les trois dans la voiture. Un camion de télévision
est garé en face. Un cameramant sort de celle-ci.]
(Un vent apparaît est expulse le docteur de la voiture. C'est Shax.
Piper et Prue sortent de la voiture et relise à nouveau la même
formule. Shax explose une bonne fois pour toute.)
Piper : Alors là, si on l'a pas vaincu !
La foule : Bravo !
(Ils applaudissent.)
Prue : Ohhhhhhhhhh.
(Elles aperçoivent la journaliste en face.)
Piper : On va repasser aux infos !
Prue : Zut, j'suis pas maquillée.
[Devant le manoir, une foule manifeste avec plusieurs panneaux en mains qui disent par exemples "La fin est proche." La police essaie de les maîtriser, même un hélicoptère survole la demeure. Alice est sur la voiture d'une équipe TV.]
Alice : Piper ! Piper ! Je suis comme vous ! Je suis la seule à pouvoir vous comprendre, la seule à pouvoir vous aider.
[Dans la cuisine. Piper et Prue cherche une solution. Darryl donne des ordres à ses hommes par talki-walki.]
Darryl : Virez-moi ces fous furieux vite fait. Qu'ils
ne s'approchent pas trop de la maison surtout.
Prue : Nan, mais ce que je comprends oas c'est comment ils ont su qu'on
était à l'hôpital. Ils nous on pourtant pas suivis.
Darryl : Un journaliste a sûrement repéré votre
voiture.
Prue : Quelle galère ! J'espère que ça se passe
mieux pour Phoebe en Enfer, que pour nous sur cette maudite Terre.
(Piper feuille des documents.)
Piper : T'as vu tous les magazines qui veulent nous interviewer, c'est
incroyable. On a vraiament la côte di, j'en reviens pas. Y'a même
un magazine de sport !
(Prue est etonnée.)
Darryl : Ils vous veulent pour présenter les maillots dans leur
prochaine édition. (Elles font la grimace.) J'plaisante.
Prue : On est en train de vivre un véritable cauchemar. (Elle
lève la tête.) Où est Léo ?
(Prue voit le docteur Griffiths interviewé à la télé.)
Piper : Piper ! (Elle lui fait un signe pour venir voir.) Tu vois ce
que je vois. (Elle monte le son.)
Griffiths : Et l'une d'entre elle à parler d'une formule magique pour
le vaincre et...
Piper : le Dr Griffiths.
Griffiths : Elle est montée chercher un livre, j'imagine que c'était
un livre de sorcellerie, avec une formule magique pour tuer ce démon.
Piper : Quand je pense qu'il avait promis de garder le secret !
(Suzi, une femme est aussi interviewé.)
Suzi : Je les ai toujours trouvées ces trois soeurs assez bizarres,
je me méfie d'elles. J'avais pas confiance et je peux même vous
dire qu'un jour Prue a eu le coulot de jetter un sort à mon petit ami,
parce qu'elle voulait nous séparer.
(Prue n'en revient pas !)
La voisine : Elles sont dangereuses.
Prue : Ils sont aller chercher Suzi Johnson qui était en première
avec nous, pour l'interroger !
Piper : Je me suis toujours demandée pourquoi ils avaient rompus
!
Prue : C'est pas drôle. Ca suffit arrête !
(Elle part dans la véranda.)
Prue : Léo ! Léo ! Léo ! Léo !
(Il apparaît.)
Prue : A quand même ! Ca suffit maintenant, là j'en ai
marre il faut que ça s'arrête. Les médias sont en train
de s'en donner à coeur joie.
Léo : Vous comprenez maintenant pourquoi les Fondateurs voulaient
que tout se fasse en douceur ...
Piper : Oué on a compris ! On est pas idiotes ! Alors j'espère
qu'ils ont trouvé une solution.
Léo : Il y en a une, mais on ne sait pas si ça marchera.
Il faut que vous essayer de rentrer en contact avec Tempus.
Prue : Euh... Tempus ? Mais Tempus le démon ?
Léo : Oui, c'est lui le seul à posséder le pouvoir
de remonter le temps pour qu'on puisse annuler tout ce qui s'est passée.
Prue : T'as raison de dire que c'est pas sûr que ça marche.
J'suis prête à parier que ce sera difficle
Piper : On l'avait pas vaincu ?
Léo : Vous vous êtes battu mais vous ne l'avez pas vaincu.
Seulement c'est pas ça le problème. Ce qui est plus compliquer
c'est de réussir à le joindre. C'est un démon très
difficile à approcher.
Piper : Pourquoi nous aiderait-il ? En plus, on ne peut pas faire un
mouvement sans avoir les médias à nos trousses ! On est coincée,
on n'a pratiquement plus aucun pouvoir, je ne vois pas pourquoi il aurait
intérêt à nous aider.
(Alice défonce la porte du solarium.)
Alice : Oh ! Oh j'suis contente, j'y suis arrivé c'est génial!
Piper : Ca alors ! D'où elle sort celle-la ? Qui êtes-vous
?
Alice : Je m'appelle Alice, Alice Hix. J'étais impatiente de
faire votre connaissance. J'voudrais me joindre à votre bande de sorcière
!
Prue : Mais ça va pas, vous êtes dingue ! On est chez
nous, dégagez !
(Prue la fait valdaguer dehors à l'aide de son pouvoir.)
(Darryl débarque de la cuisine.)
Darryl : A toutes les unités restez où vous êtes
. (Il s'aperçoit qu'aucun danger menace les soeurs.) Euh, est-ce que
tout va bien ?
Prue : Oui tout va très bien. (A Léo) Il faut arrêter
ce cirque, sinon on est fichus !
[Devant le manoir, Alice sort déçue. Les journalistes l'attendent pour l'interviewer.]
La journaliste : La voilà ! Qu'est-ce qui s'est
passé ?
Un homme : Elles vous ont prise pour un démon ?
La journaliste : Elles se sont moquées de vous ?
Alice : Ce sont de méchantes sorcières !
(Alice s'en va en pleurant.)
[Au Manoir, dans le solarium.]
Piper : Et comment on va entré en contact avec
Tempus ?
Prue : Par l'intermédiare de Cole, c'est un démon important
lui aussi.
Piper : Tu penses qu'il acceptera de nous aider ?
Prue : Oui, parce que nous aider, c'est aider Phoebe. (A Léo.)
Tu crois que tu peux y aller ?
Léo : Oui, mais je ne peux pas la localiser d'ici, je ne pourrais
le faire qu'une fois là-bas. Dépêche-toi y'a pas de temps
à perdre.
(Léo reste septique.)
Prue : Quoi t'es pas convaincu ?
Léo : Une fois que je serais là-bas, vous n'aurais plus
aucunes chances de me joindre, si jamais vous avez des ennuis.
Piper : On touche le fond là, j'vois pas ce qui pourrais nous
arriver de pire. Lorsqu'on aura remonter le temps, on aura plus rien à
craindre de personne, tout sera comme avant. Vas-y, et sois prudent surtout.
Léo : Oui toi aussi.
(Ils s'embrassent et Léo disparaît en même temps. Piper
regarde à nouveau ces documents.)
Piper : Alors on fait une interview avec Opra ou Barbara ?
(Prue lui sourit.)
Piper : Non, pas Barbara, j'préfère Opra.
[En Enfer, Cole revient voir Phoebe.]
Cole : Phoebe...
(Ils s'avancent l'un vers l'autre.)
Cole : ...il vaut mieux que tu t'en ailles.
Phoebe : Tu veux dire qu'on s'en aille tous les deux ?
Cole : Ecoute-moi j'ten prie c'est très sérieux. Ce qui
se passe en ce moment est vraiment énorme. et ce serait trop dangeureux
pour toi !
Phoebe : Pourquoi ? Que se passe-t-il ?
Cole : Je l'ignore, mais ça doit e^tre important pour que la
Source se déplace jusqu'ici.
Phoebe : Comment ça ? elle est ici ? Maintenant ?
Cole : Oui, maintenant. Va-t-en avant qu'elle te voit.
(Léo apparaît.)
Phoebe : Léo ?
Cole : Vous êtes fou, qu'est-ce que vous faîtes ici ?
Léo : J'essai de sauver ma famille. (A Phoebe.) Tes soeurs ont
été démasquées, on sait que vous êtes des
sorcières !
Phoebe : Quoi ? De quelle façon ?
Léo : On s'en moque. Ce qui importe c'est de les sortir de là.
(A Cole.) Pour cela, on a besoin de votre aide.
Cole : Comment ?
Léo : Il faut que vous demandiez à Tempus d'inverser
le temps.
Cole : Vous plaisantez. Je.. je ne peux rien faire !
Léo : il n'y a pas d'autres moyens. Phoebe, il faut faire vite.
Cole : Je regrette je ne peux pas convoquer Tempus. Même si je
le voulais, je n'ai pas ce pouvoir.
Phoebe : Mais tu connais quelqu'un qui pourrait.
Cole (en rigolant) : Vous attendez de moi que je demande à la
Source... (Il reprend son sérieu.) d'aider des sorcières ?
Léo : Ca n'aidera pas que les sorcières. Le monde maléfique
est aussi en danger. C'est pour ça qu'elle est ici ! Remontez le temps
résoudras le problème de tout le monde. Vous n'avez qu'à
lui faire croire que ce que vous voulez surtout c'est la sauvez elle, pas
les sorcières. Que ce soit vrai ou pas, ça nous est égal.
Cole : C'est suicidaire...
[En Enfer, Cole rejoint la Source. Il doit passer la barages des gardes. Ceux-ci le laisse passer sachant qui il est, un démon.]
(Cole est devant la Source.)
Cole : Il y a certains bruits qui courent, c'est la vérité.
Nous avons été découvert...
La Source : ..en quoi cela nous concerne-t-il ?
Cole : Je ne vois qu'un solution... les pouvoirs de Tempus.
La Source : Ils sont affaiblis depuis la dernière fois où
il a remonter le temps. S'il recommence, ça risque de le détruire.
Cole : Avons-nous le choix ? Pardonnez-moi (Il se met à genoux.)
La Source : Une autre trahison ? Jamais. (Il pointe un lance sur Cole.)
J'ai entendu parler de ton combat Balthazar, et de votre sorcière.
Ja sais bien que c'est pour ça que vous venez me voir. Je sais tout
ce qu'il y a à savoir sur vous. Temous fera ce que vous nous proposez,
mais... à une condition : que votre sorcière vienne dans notre
monde. A condition que votre sorcière se joigne à nous.
Cole : Elle ne ferait jamais ça !
La Source : Pas même pour sauver la vie de l'une de ses soeurs
?
Cole : L'une d'entre elle à été tuée ?
La Source : Ca ne saurait tarder.
[Devant le Manoir, la foule de manifestation s'agrandit.]
[Au Manoir, dans le solarium, Prue et Piper se barricadent.]
Piper : A quoi ça sert de faire ça ? A
rien du tout.
Prue : On sait jamais. Si ils ne réussissent ps à remonter
le temps.
(Elles se dirigent vers la salon.)
Piper : Si on arrive pas à remonter le temps, je ne vois pas
en quoi cette table nous protégera!
Prue : Faudrait peut-être qu'on réflechisse à cette
éventualité, car si jamais Léo échoue, il va falloir
trouver une solution et se débrouiller toute seule.
Piper : On fera des talk-show, on signera des bouquions, des contrats
pour des films, et on se fera prendre par la CIA et on se fait disséquer
!
Prue : C'est pas le moment de plaisanter, c'est pas drôle.
Piper : Je ne plaisantes pas !
Prue : Et moi non plus. J'ai la trouille. Tout ces gens me flanque
la trouille. Nos vies sont en jeu Piper, tout le travail qu'on a accompli
va peut-être être détruit à cause d'une erreur,
d'une lamentable erreur. Tout notre avenir, notre déstinée pourrait
s'effondrait d'un seul coup.
(Elle claque des doigts et au même moment Piper reçoit u choc
violent dans le dos.)
Prue : C'était quoi ça ?
Piper : Oh, oh.
(Elle s'effondre dans les bras de Prue.)
Prue : Piper ! Piper ! Piper !(
(Elle découvre ses mains, qui tiennent le dos de Piper, pleines de
sang.)
[Devant le manoir, Alice se tient debout sur un camion de télévision,
un fusil à la main.]
Alice : J'ai tué une sorcière ! Oui la
méchante sorcière est morte !
(Des policiers lui sautent dessus et la fond descendre, et l'embarque.)
Alice : J'ai tué la méchante sorcière !
[Au manoir dans le salon, Piper, tremblante, est sur le sol, dans les bras
de Prue, pleins de sang.
Prue : Accroches-toi.
(Prue pleure.)
Prue : Léo ? Léo ? J'vais t'emmener à l'hôpital,
on va te soigner.
[Dehors, laes policiers tentent de retenir la foule. Prue traîne
Piper jusqu'à la voiture.]
Prue : Léo ? Léo ?
La journaliste : Mademoiselle Halliwell ? Quelqu'un a blessé
votre soeur ? Est-ce que c'est grave ? Vous croyez qu'elle va s'en sortir
?
(Prue met Piper à l'arrière de la voiture.)
Prue : Léo ?
(Elle démafrre, fait quelques mètres et est bloquée par
la foule.)
Prue : allez-vous en !
(Elle klaxonne à plusieurs reprises.)
La journaliste : Mademoiselle Halliwell, que se passe-t-il ?
Prue : Laissez-moi passer !
(Elle sort de la voiture.)
Prue : Laissez-moi passer, il faut que j'aille à l'hôpital.
J'vous en prie allez-vous en !
La journaliste : Vous voulez sauver votre soeur ?
Prue : Laissez-moi passer, allez-vous en !
(Prue est désespérée. Un bourdonnement lui envahi la
tête.)
Prue : Léo ?
(Prue perd patience. Elle utilise son pouvoir et fait voler la journaliste
et la caméraman. Puis la foule.)
Un homme : Mais qu'est-ce qui lui prend, elle est folle ?
(Tout le monde prend peur et s'enfuit.)
(Prue remonte dans sa voiture et démarre à toute vitesse.)
[A l'hôpital, Piper est sur un lit. Des infirmiers
courent vers la solle d'opération.]
Prue : Accroches-toi. (Aux infirmiers) Où est
le docteur Griffiths, comment se fait-il qu'il ne sois pas là ?
(Le docteur arrive.)
Griffiths : Que s'est-il passé ?
Prue : Une folle lui a tiré dessus.
Griffiths : Vous avez pris son pouls ?
Une infirmière : Pouls 70, très faible.
Griffiths : Vite dépêchez-vous de l'installer.
Une infirmière : A trois on y va. 1,2,3, allez.
Griffiths : Faut pas perdre de temps, elle a perdu beaucoup de sang.
(Prue lui prend la main et s'inquiète, plus qu'elle ne l'est encore.)
Griffiths : Plaie importante par balle à l'abdomen et encore
plus dans le dos. Préparez moi un milligramme d'Atropine.
Une infirmière : D'accord.
Prue : Léo ?
Griffiths : Et 4 cc d'Adrénaline
Prue : Léo ? Léo ? Léo ?
(Piper chuchotte quelque chose.)
Prue : Quoi ?
Piper : Léo, il est arrivé quelque chose.
Prue : Piper ! tu vas t'en sortir, j'veux pas que tu meurs !
Piper : Ah... Prue, aide-moi j'ai froid.
(Prue fond en larmes.)
Piper : Je ne sens plus mes jambes.
Une infirmière : Le pouls est très faible.
Prue : T'en vas pas.
Piper : Je t'aime, Prue.
(Sur ce, l'appareil emet un son continue, signe d'arrêt cardiaque.)
Une infirmière : Arrêt cardiaque.
Griffiths : Les palettes ?
Une infirmière : Voilà.
Griffiths : Dégagez.
Une infirmière : Dégagez.
(Rien ne change.)
Griffiths : Recharger.
Une infirmière : Recharger.
Griffiths : Dégagez.
Une infirmière : Dégagez.
(Aucun résultat. Le docteur abandonne.)
Griffiths : Désolé.
Prue : Nan ! Oh nan, nan !
(Elle s'effondre sur le corps de sa soeur. Elle lui ferme les yeux.)
Prue : Sortez, allez-vous en ! Allez-vous en !
(Le docteur range le matériel et tout le monde sort de la salle.)
Prue : Non ! Non ! Non ! Non !
(La porte se referme, et un agent de police se tient derrière.)
[En Enfer. Cole vient rapporter la réponse de la Source à
Phoebe et Léo.]
Léo : Oui, j'espère que ça marchera,
on va voir.
(Cole arrive. Phoebe se retourne vers lui.)
Phoebe : Cole. T'en as mis du temps, on commençait à
s'inquiéter. Qu'est-ce qui se passe ?
Cole : Elle est au courant. Elle sait tout sur toi, et sur nous deux.
Phoebe : Et... alors ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
Cole : Elle propose un marché, elle demandera à Tempus
de remonter le temps à condition... que tu restes... avec nous.
Léo : Comment ? C'est n'importe quoi !
Cole : Sans doute.
Léo : On est peut-être désespérés,
mais pas à ce point là !
Phoebe : Comment la Source pourrait-elle croire que je serais prête
à accepter une offre pareil ?
Cole : Parce que c'est le seul moyen de ressusciter une de tes soeurs.
(Elle se raccroches à Léo.)
Phoebe : Quoi ?
Léo : Je suis sûr qu'il ment.
Cole : Nan, c'est vrai.
[A l'hôpital, dans le couloir, un commando arrive.]
Un homme : Attention, doucement.
[Dans la salle de Piper, prue est toujours en train de pleurer sur le corps
de sa soeur. Elle arrache les fils des appareils médicaux. Un homme
du commando entre.]
L'homme : Je ne vous ferais pas demal, mettez les mains
derrière la tête.
(Elle se relève, très enervée.)
L'homme : Doucement.
(Elle l'enoie valdinguer en dehors de la salle. Un autre homme rentre, et
là elle lui met deux coups de pieds successifs et lui aussi fini dans
le couloir. Elle décide alors de barricader la porte. Elle éteint
la lumière et retourne veiller sur sa soeur. Léo apparaît.)
Prue : Léo, ils l'ont tué !
(Léo, les larmes aux yeux se dirigent vers le corps de sa femme.)
Prue : Maintenant ils nous prennent pour des démons.
Léo : Oh non, non, elle ne peut pas mourir. Oh c'est pas vrai,
ma chérie, non.
(Il l'embrasse sur le front.)
Prue : Tu peux la ressusciter oui ou non ?
(Léo ne répond pas, il pleure. Prue l'attrape pas la chemise.)
Prue : Dépêche-toi !
(Il s'eclipse.)
Prue : T'en fais pas, ça va s'arranger, j'te promets que ça
va s'arranger.
(Elle jette un oeil sur le couloir.)
[En Enfer, Phoebe et Cole attendent le retour de Léo, muet. Léo
réapparaît en larmes.]
Phoebe : C'est Piper.
(Elle le prend dans ses bras.)
Léo : Tu n'es pas obligée de faire ça.
Phoebe : Bien sûr. (Elle se retourne vers Cole.) Tu crois que...
le fait de remonter le temps aura des conséquences sur nous ?
Cole : Non.
Phoebe : D'accord, j'accepte à une condition : il faudra que
tu préviennes Prue et Piper avant que ce tueur démoniaque ne
les attaque ou elles moureront de toute façon.
[Dans la pièce de la Source. Cole est aggenouillé devant
elle.]
La Source : J'accepte.
(Cole se relève et le salue. Il s'en va. Un gardien arrive et s'agenouille
à son tour.)
La Source : Lorsque j'aurais remonter le temps, arrêtez-le, et
ensuite tuer sa sorcière. Comme ça je n'aurais plus à
me méfier de Balthazar ou des trois sorcières.
(Le gardien se relève et part.)
[A l'hôpital, Prue borde le coprs de sa soeur. Dans le couloir des
hommes armées d'armes à visualité thermique, se prépare
à tuer Prue. Prue fait les cents pas.]
[Au moment où le policier s'apprête à tirer, La Source
regarde la scène en Enfer.]
La Source : Que s'accomplisse le destin...
[A l'hôpital, le policier tire. Au moment précis où
la balle se tient à proximité de Prue, le temps recule. Toute
la journée redéfile à l'envers.]
[Au Manoir, dans l'entrée. Prue, Piper et le docteur Griffiths rejoue
leur scène.]
Prue : Tout cela peut paraître incroyable. Mais
pourtant c'est la vérité j'vous assure. Vous guérissez
un certain nombre de vos patients. Alors soit vous avez sauvez trop de vies,
soit il y a une vie qu'ils ne veulent pas que vous sauviez.
Le docteur : Vous les connaissez ?
Prue : Oui c'est un démon, pour être plus précise
c'est Shax, l'assassin de la Source.
Le docteur : J'ai compris, ça y'est ! Vous avez voulu me faire
une farce. Il y a une caméra cachée ? J'parie que cette mon
ex-femme qui a eu cette idée.
Prue : Euh... non.
Le docteur : Ca ne m'étonne pas d'elle. (Il rit et cherche des
caméras au plafond.)
Prue : Docteur Griffiths, ça n'a rien n'a voir avec elle, vous
vous trompez. (Elle s'arrête.)
Piper : Qu'est-ce que tu as ?
Prue : J'ai senti quelque chose, ça m'a fait froid dans le dos.
Phoebe ?
(Cette fois-ci Phoebe ne répond pas.)
Prue : Phoebe tu es là ?
(La porte d'entrée s'ouvre sous la force de Shax qui se dirige droit
sur Piper et Prue.)
Prue : Phoebe ! Phoebe où es-tu ?
(Shax se dirige sur le docteur. Prue et Piper relève la tête.)
Le docteur : Qu'est-ce que c'est que ça ?
Prue : Non. (Elle se relève et pousse le docteur interceotant
la boule d'énergie lancée par Shax. Elle traverse le mur.)
Piper : (se relevant.) Prue !
(Piper essaie de figer Shax, mais elle se reçoit elle aussi une boule
d'energie lui faisant prendre le même chemin que Prue : le mur. Shax
se tourne vers le médecin.)
Le docteur : Qui êtes-vous ?
Shax : La fin.
(Cette fois-ci, le docteur ne s'en sort pas, il se reçoit une boule
d'energie, qui le tue. Shax admire son oeuvre et repart sous sa forme de vent,
laissant les portes du manoir se refermer, cassant les vitres.)